Notes d’allocution pour Marie-Claude Landry, Ad.E. E., présidente, Commission canadienne des droits de la personne
Notes d’allocution pour Marie-Claude Landry, Ad. E., Présidente, Commission canadienne des droits de la personne
Dans son Rapport annuel 2018 rendu public aujourd’hui, la Commission canadienne des droits de la personne déclare que, dans toute son histoire, un nombre record de personnes ont communiqué avec elle pour obtenir de l’aide.
« La Commission canadienne des droits de la personne se réjouit de l'introduction de la législation fédérale en matière de logement, en particulier de la nomination d'un défenseur fédéral du logement.
Notes d’ allocution de Marie-Claude Landry, Ad.E . E., présidente, Commission canadienne des droits de la personne
La Commission canadienne des droits de la personne est profondément préoccupée par l’annonce récente faite par le gouvernement du Québec de son intention d’interdire le port de signes religieux de pour tous les fonctionnaires provinciaux occupant des fonctions telles que policiers, juges, enseignants et cadres supérieurs.
J’aimerais d’abord remercier les organisateurs et les panélistes pour leur engagement dans la réalisation de cette soirée.
Tout comme le monde entier, la Commission canadienne des droits de la personne est en état de choc, de consternation et d’indignation à la suite de la nouvelle concernant l'attaque meurtrière contre deux mosquées à Christchurch, en Nouvelle-Zélande. Nos pensées vont aux victimes et à leurs familles, aux habitants de la Nouvelle-Zélande, ainsi qu’à la communauté musulmane mondiale.
Aujourd’hui, l’enquêteur correctionnel du Canada, M. Ivan Zinger, et la présidente de la Commission canadienne des droits de la personne, Mme Marie‑Claude Landry, ont rendu public un rapport conjoint intitulé Vieillir et mourir en prison : enquête sur les expériences des personnes âgées sous garde fédérale.
La Commission canadienne des droits de la personne est encouragée par la présentation d’un projet de loi visant à réformer le système fédéral de protection de la jeunesse. La réforme du système actuel serait une avancée significative pour les enfants et les familles autochtones au Canada.